Press Start : programme unique de YES Akademia de déclic à l’entrepreneuriat responsable

Ci-dessous vous pouvez lire plus de détails sur notre programme phare « Press Start ». Press Start est un programme humain avant tout axé autour du bien-être, pour apprendre à entreprendre ensemble, à vivre en communauté et dans la coopération, à reconnecter avec soi-même et avec la nature. Vous pouvez télécharger le Flyer pour le programme de 2020 ici.

Félicitations aux lauréats de la 5ème promotion qui ont reçu leurs diplômes en juillet 2019 au Centre Mandapa à Paris !

Vous pouvez cliquer sur le lien du dossier Press Start ci-dessous pour vous inscrire à la 6ème promotion en 2020 

Dossier Press Start

Du 29 août au 12 septembre 2020, entretiens en avril et mai 2020 pour la Saison 6 de Press Start

press-start@valligraph.com ou 07 82 92 82 68 si vous avez des questions.

Depuis 2014, 70 jeunes sur cinq promotions de   « starteurs » venus de toute la France, d’Europe et du Maghreb ont suivi notre programme de déclic à l’entrepreneuriat responsable, PRESS START. La sixième saison aura lieu du 29 août au 12 septembre 2020.

Press Start est une formation unique de 100 heures, délivrée sur 1 an, dont 2 semaines en « immersion » 24H/24 et un an de suivi avec un suivi mensuel de la part de YAKA. Elle encourage une culture entrepreneuriale et stimule l’innovation sociale.

PHASE 1: Une semaine de cohésion de groupe dans une ferme pédagogique dans le Tarn à « Os Figueiros » : une semaine de formation et de WWOOFING dans le sud de la France (World Wide Organic Farming Movement), pendant laquelle les lauréats acquièrent des entrepreneuriales mêlant créativité, esprit d’initiative, aptitude à résoudre des problèmes et à mobiliser des ressources, et connaissances financières et techniques.

PHASE 2: Une semaine dans une grande ville en Europe ou au Maghreb avec des rencontres et d’ateliers avec plus de 30 intervenants, entrepreneurs ou experts de l’entrepreneuriat à Paris. Les starteurs s’inspirent des témoignages des parcours de tous les différents entrepreneurs pour renforcer leurs projets entrepreneuriaux. Ces rencontres suscitent le changement et permettent de s’y adapter. En 2018, Marseille. En 2017, Paris. En 2019, les lauréats ont découvert Toulouse. En 2020, nous restons sur Paris pour cause du COVID-19 mais nous aurons des participants venant de Tunis en Tunisie pour préparer notre départ à Tunis en 2021 avec Erasmus+.

PHASE 3: Les « starteurs » sont mentorés par la suite pendant 1 an et se rencontrent de manière mensuelle (virtuellement ou en face à face). Ils participent mensuellement à des activités avec l’association pour mettre en avant leurs projets.

Dossier Press Start

Chaque année il y a une thématique spécifique pour chaque promotion. En 2020, c’est la thématique « RESILIENCE » en lien avec la pandémie mondiale et des partenaires de la Tunisie. En 2019 c’était « NO FEAR : BREXIT » en collaboration avec les anglais de Londres. En 2018 c’était sur le CODING avec nos partenaires Magic Makers et en 2017 c’était sur l’engagement citoyen. En 2016 c’était axé sur l’environnemental en amont du COP 21 en France. Les projets des « starteurs » touchent au développement local ainsi qu’international dans de nombreux pays, par exemple à travers un projet de commerce équitable à Madagascar, un projet de panneaux solaires au Benin et des coopératives agricoles en Côte d’Ivoire. En 2015, les « starteurs » ont participé à une séance sur le développement durable et l’entrepreneuriat lors de la « Conference of Youth 11 » (COY11) et la COP21 en novembre et décembre 2015.

Plus de détails :

Pour qui ?

Des jeunes de tous horizons, les lauréats de Press Start sont âgés entre 18 et 35 ans et originaires de nombreuses régions à travers la France, l’Europe et le Maghreb. Les jeunes sont désireux d’explorer ensemble l’entrepreneuriat RESPONSABLE.

Les jeunes lauréats de Press Start doivent avoir en tête un projet entrepreneurial dès le départ de l’aventure. Ils doivent aussi pouvoir s’engager sur la totalité du programme et vouloir vivre cette expérience en groupe avec sa promotion. Par ailleurs, le programme demande une contribution de 100€.

Méthode

Le programme travaille en étroite collaboration avec les lauréats au cours de la durée du programme intensif, créatif et unique. Du WWOOFING et des rencontres sont programmés tout au long des 2 premières semaines de la formation intensive.

La formation fait appel à des facilitateurs tout au long du projet pour libérer le potentiel des lauréats et partage toutes les méthodes et techniques qui s’offrent à eux dans leurs réseaux au niveau national et international.

Facilitateurs

Depuis la 3ème promotion de Press Start, la facilitatrice principale et directrice de la formation Press Start est Wadia Chaftar, entrepreneuse de longue date et lauréate du prix Talent des Cités pour sa société Covet Chic. Elle est vice présidente de YES Akademia et a participé activement au programme IMPOWER pendant 3 semaines en Haïti l’été 2016. Wadia est aussi chef de projet chez Les Entretiens de l’Excellence.

Le facilitateur en 2015 de la 2ème saison était Jérôme Cohen, fondateur de ENGAGE, écosystème et plateforme dédiés à l’action collective pour des futurs désirables. Sa mission : engager la société civile dans la transition par le co-développement de projets à forte valeur ajoutée sociétale.

En 2014 pour la 1ère saison, Athina Marmorat, en collaboration avec l’équipe de YAKA, a animé et mis en place le plan détaillé de chaque atelier pendant les deux semaines. L’autre facilitateur était Bret Carr, entrepreneur vivant en Californie, qui a travaillé avec les jeunes de Youth Venture d’Ashoka à Boston pendant quatre ans ainsi qu’à Madagascar.

Programme

La première phase du programme : WWOOFING à la ferme à Albi, près de Toulouse (« Os Figueiros »)

La première semaine a lieu à la ferme Os Figueiros dans le Sud de la France, près de Canezac, une ville non loin d’Albi et à une heure de Toulouse. Cette première semaine est conçue pour renforcer la cohésion du groupe de 15 lauréats, de sorte que la promotion ait un vrai sentiment de solidarité, de bienveillance et d’entraide. Cette première partie du programme a été élaboré avec l’aide du propriétaire de la ferme, Dave Wasserman, un anglais qui habite en France depuis plus de 25 ans.

La ferme est connue pour avoir accueilli plus de 300 bénévoles WWOOFING (« World Wide Organic Farming Movement ») ces dix dernières années. En tout, avec les lauréats, personnels de la ferme et les staffs de YAKA, vous êtes à peu près 25 personnes sur la ferme, dans un environnement magnifiquement rustique afin de créer une atmosphère chaleureuse et ouverte à toutes et à tous.

Les lauréats effectuent quatre heures d’activités de WWOOFING tous les jours. Le fermier et ses co-équipiers offrent leurs compétences techniques et leurs expériences de la ferme afin de permettre aux lauréats de finir un projet et être fier d’avoir contribuer à l’amélioration de la ferme. Vous pouvez tout autant réparer une moto que créer une fenêtre afin d’apporter la lumière à une autre partie de la vieille maison. Dans le passé, des lauréats ont remis en état le jacuzzi naturel du jardin et beaucoup d’autres projets ont été effectués…

Le dernier jour à la ferme, les lauréats montrent le travail qu’ils ont effectué pour le reste du groupe grâce à cette expérience WWOOFING, qui a un impact sur la création de la magie de cette expérience et la capacité à mener à bien un projet de A à Z.

Cette première phase permet aux lauréats de passer du temps qualitatif ensemble à créer des emplois de qualité. Cette expérience de WWOOFING permet de vivre une autre façon de faire et de travailler ensemble dans un format de groupe et d’utiliser les outils traditionnels. L’équilibre entre les activités de WWOOFING et les ateliers théoriques sont conduit par les facilitateurs. Quelques intervenants viennent au cours de la première semaine, comme Héritier Luwawa et Anne Ginesti.

2ème phase : Mise en application de la théorie avec les conseils des professionnels

Au cours de la deuxième semaine de la formation, les lauréats rencontrent plus de 30 entrepreneurs et professionnels inspirants et qui répondent à leurs questions. Il y a des ateliers comme « Choisir son statut juridique » avec le cabinet d’avocats PROSKAUER, le « développement identité visuelle et du site internet » avec l’école 42 ou Magic Makers, « Découvrir le monde de l’entreprise » avec KPMG ou la Fondation EDF, « Comment trouver des financements pour son projet » et « Pitcher son projet devant des Professionnels » …

En 2015 et 2016, la 2ème semaine était à Paris. En 2017 et 2018, elle était à Marseille. En 2019, elle était à Toulouse principalement mais aussi à Albi et à Carmaux. En 2020, elle aura lieu en Tunisie.

3ème phase : Un suivi régulier pendant un an pour un vrai développement

Press Start permet d’être accompagné sur un an avec un suivi régulier et cohérent pour évaluer d’abord l’impact du programme, préparer les prochaines étapes de son développement professionnel et personnel et pour assurer le développement des projets. Cette troisième phase permet de renforcer la dynamique de groupe créée lors de la phase 2 et renforcer les réseaux avec les entrepreneurs et les professionnels rencontrés pendant les deux semaines intensives. Cette phase assure la viabilité des projets. L’esprit de cette troisième phase est également renforcé grâce à la facilité pour les lauréats de communiquer, partager et échanger tout au long de l’année.

Samir

Dossier Press Start

Impact de PRESS START

Viabilité des projets : Les lauréats solidifient leurs projets professionnels et comprennent comment rendre leurs projets viables. Ils apprennent à déceler les opportunités, mobiliser les ressources et mobiliser les autres pour leur projet.

Réseau: Les lauréats réussissent à créer un réseau solide avec les intervenants et autres lauréats au niveau national et au niveau international. Ils apprennent à travailler avec les autres et apprennent de leurs expériences.

Rencontres: Les lauréats rencontrent des conférenciers et des personnalités fascinants tout au long du programme, créant des expériences mémorables très positives. Ils sont stimulés sur leur vision et acquièrent une culture financière et économique.

Confiance: Les lauréats deviennent plus à l’aise et en confiance pour présenter leurs projets devant des groupes variés. Ils font preuve de confiance dans la capacité à réussir et tiennent bon dans l’adversité. Ils gèrent l’incertitude, l’ambiguïté et les risques. Ils acquièrent une conscience de soi et une auto-efficacité.

Ouverture : Les lauréats s’ouvrent sur les challenges qu’ils ont eu, pouvant partager leurs craintes et leurs passions. Ils réduisent leur crainte de l’échec en faisant preuve de résilience et de persévérance face à la difficulté. Ils sont motivés, prennent des initiatives et persévèrent.

Réalisation de l’impact : Les lauréats réalisent ce qu’il faut pour créer une entreprise prospère et pour rechercher l’impact social dans de nombreux projets. Ils planifient et gèrent et pensent de manière éthique et durable. Ils développent des aptitudes créatives et durables pour résoudre des problèmes et trouver des solutions.

Fierté : Les lauréats, leurs amis, et leurs familles ainsi que toute la communauté de YAKA sont fiers des diplômes reçus après la fin des deux semaines et pour démarrer l’année de mentorat ! La remise des diplômes de la 1ère édition a eu lieu à l’Hotel Talleyrand, au Sénat et à l’Assemblée Nationale pour la 2ème édition, au l’Organisation Internationale de la Francophonie pour la 3ème édition et à l’Hôtel de Ville à Paris pour la 4ème édition.

La première édition du programme d’entrepreneuriat de YES Akademia était mise en place par l’ONG et financé entièrement par l’ambassade des États-Unis de France, sous le nom de « Yes Oui Can ». Ce programme continue et est mené par INCO et s’appelle maintenant « Start Us Up ». Vous pouvez trouver plus d’information sur le programme ici.

La deuxième édition en septembre 2015 était sponsorisé par le British Council.

Toutes les éditions suivantes depuis mai 2017 ont était sponsorisés principalement par la Fondation de Groot.

En 2019, Press Start a aussi reçu le soutien d’Erasmus+ pour faire le programme avec des entrepreneurs sociaux anglais

Contact

press-start@valligraph.com

La promotion 2014-2015 (1ère saison de PRESS START, ex-Yes Oui Can) – promotion rebaptisée au nom de « Sofiane Malki » en février 2019 pour commémorer l’âme de notre cher ami, jeune lauréat de la 1ère promo, qui est parti trop tôt à 23 ans, paix à son âme.

Yassine Arab (Rouen) est déterminé à ouvrir une boulangerie française en Algérie. Yacine avait beaucoup d’idées pour commencer et a aussi été très actif dans son programme d’autonomisation. Il a appris à se concentrer, et a su interagir avec une grande facilité avec les intervenants tout au long du programme.

Yacine Berbour (Paris) souhaite mettre en vente ses peintures en France et à l’étranger. Initialement timide, Yassine a pu s’intégrer dans le groupe et découvrir une nouvelle facette de sa personnalité à travers le travail de groupe qui a été réalisée au cours du programme notamment à la ferme. Il a appris à oser communiquer sur son projet.

Karima Bouagada (Avignon) est une jeune femme dynamique qui n’a pas peur d’aller au-delà des stéréotypes. En effet, elle souhaite mettre en place un centre de boxe pour les femmes à Avignon et ajoute un programme de soutien psychologique pour les femmes qui viennent au centre de boxe. Au cours du programme, elle a créé le site web de son club et a appris à mieux communiquer sur son projet.

Matthieu Chesnel (Fierté-Million) est un jeune homme attentif et humoristique de 25 ans, qui souhaite voyager dans le monde et découvrir de nouvelles cultures. Matthieu a aussi pour projet de créer un café dans son village ville natale.

Ibrahim Cissé (Sevran) souhaite ouvrir officiellement son entreprise de nettoyage qu’il a déjà commencé il y a quelques années, après son militaire. Il ne l’avait jamais présenté devant des professionnels ce qui lui a donné confiance à ouvrir prochaine son entreprise de nettoyage industriel : ZeforNet.

Makan Diallo (La Courneuve) a décidé de devenir un entrepreneur malgré les nombreux défis de la vie auxquels il a eu à faire. Il a pour projet de créer une entreprise pour aider à nettoyer les quartiers au Mali. Il a pris énormément confiance en lui pendant ce programme.

Maxime Gérard (Nantes) a ouvert avec son frère, après la formation, un Biocoop dans la région Ile de France où il vend de la nourriture bio. Ce programme lui a permis de créer l’identité visuelle de son enseigne et de connaitre les réseaux de financements.

Pauline Hellec (Bretagne) a intégré le programme avec l’envie d’entreprise, sans avoir un projet précis. Grâce au programme elle a pu axer son projet sur l’ouverture d’un café linguistique en Bretagne. Elle a d’abord été timide mais à la fin du programme, elle a eu beaucoup plus d’aise à s’exprimer devant le groupe.

Attman Lahmouti (Soissons) a pour projet d’adapter et ajuster les jardins pour cultiver des légumes et fruits bio. Sa présence a été indispensable pour la cohésion du groupe, car il était très attentif, compatissant, ouvert d’esprit. Attman a une vision et combine les compétences artistiques et le sens des affaires dans une entreprise axée sur la nature.

Sofiane Malki (Evry) est venu dans le programme avec de nombreuses idées de projets, liées au monde artistique. Discret et humble, Sofiane posait de nombreuses questions et inspirait ses camarades. Son projet était de se concentrer sur la création d’un label de musique pour aider les artistes de son quartier. Nous nous souviendrons toujours de sa philosophie, sa joie de vivre, sa bonne humeur, ses ambitions et sa persévérance. Que son âme repose en paix.

Emeline Mayola (Villeurbane) a intégré le programme en étant enceinte de 5 mois de jumeaux. Sa motivation et son sérieux se sont fait ressentir tout au long des deux semaines. Elle souhaite ouvrir son restaurant exotique africain dans la banlieue où elle vit, comme elle a analysé qu’il n’y avait pas de restaurants de cette nature. Elle est une excellente cuisinière et également appris à gérer une cuisine avec les lauréats et les bénévoles sur la ferme.

Aida Mkontsi (La Courneuve) souhaitait créer sa propre ligne de vêtement avec une branche à but non lucratif pour aider les femmes dans son pays d’origine, Les Iles Comores. Elle a réussi à exposer quelques-unes de ses pièces pendant la remise des diplômes en 2014 à l’Hôtel Talleyrand. Depuis le programme, elle a réussi à créer son association (Ateliers Kinaza) et sa marque de vêtement.

Steeve Mondesir (Marseille) a mis en place une association pour aider les jeunes dans son quartier, à travers des événements culturels et sportifs. Son projet était de créer des vêtements de la marque « Nouvelle R » (Nouvelle ère ) afin de financer les actions de son association. Steeve a appris à adapter son discours pour une meilleure stratégie de communication. Il a appris à écouter les conseils qu’on lui donne et à les appliquer. L’année suivante il a lancé sa marque et sa boutique en ligne de NvlR Shop.

Margot Raymond (Lyon) est une photographe ambitieuse qui souhaitait découvrir comment devenir entrepreneur. Elle a pu prendre conscience des différents moyens de financement partout en France. Elle a réussi à décrocher une mission avec le cabinet d’avocats de Proskauer suite au programme. Depuis 2017 elle a lancé son activité et en 2019 elle a créé sa société Margot Raymond Photographe.

Bolewa Sabourin (Paris) souhaitait utiliser la danse comme thérapie pour les personnes souffrant de dépression. Il était très impliqué dans le domaine associatif au travers d’Article 1 (anciennement l’Association « Passeport d’avenir »). Il a pu depuis le programme, co-écrire et produire son propre livre autobiographique La Rage de Vivre. Il a réussi à poursuivre en 2018 sa passion pour soigner les femmes violées par la danse avec l’association Re-création by Loba.

Lassana Sissoko (Aubervilliers) a décidé de se concentrer sur la création d’un centre sportif dans son quartier. Il a constaté la nécessité d’ouvrir des salles de sport démocratiques dans son quartier. Il a su aller à l’encontre de sa timidité pour obtenir les informations utiles à son projet.

La promotion 2015-2016, 2ème saison

Adeline Ollivier, 28 ans, Brétigny-sur-Orge, Ile-de-France, association qui oeuvre pour la valorisation des ressources malgaches;

Amina Ghanassi, 22 ans, Fontenay-sous-Bois, Ile-de-France, projet de valorisation de l’artisanat local;

Arabiatou Traore, 29 ans, Pantin, Ile-de-France, donner une seconde vie aux vêtements de fête traditionnels des femmes d’origine d’Afrique subsaharienne;

Coraline Boutry, 25 ans, Lille, Nord Pas-de-Calais, projet de micro-crèche axée sur une pédagogie innovante qui place l’enfant au centre de son développement;

Fouad Rehab, 28 ans, Montrouge, Île-de-France, projet d’accessibilité pour les personnes handicappées;

John Dieme, 29 ans, La Plaine-Saint-Denis, Ile-de-France, projet de “Barber Korner” qui s’est transformé en BarberShop de Groomer’s. ; Il a ouvert plusieurs Barber shop Groomers à Arcueil, Montorgeuil et Saint-Denis à partir de 2017.

Karamoko Bamba, 33 ans, L’Hay les Roses, Ile-de-France, association afin d’aider les coopératives agricoles en Côte d’Ivoire à mieux s’organiser dans leur activité, à vivre de leur récolte et être respectueux de l’environnement ;

Mona El Bazi, 22 ans, Massy, Ile-de-France, agence commerciale avec comme activité principale les services aux entreprises;

Philippe Numa, 31 ans, Paris 19ème, Ile-de-France, créer une rizière au cameroun, avec des plantations et surtout des unités de transformation, machines qui manquent au Cameroun;

Romain Wartel, 29 ans, Porticcio, Corse du Sud, projet d’exploitation agricole en permaculture;

Sofiane Mezerai, 23 ans, Farebersviller, Lorraine, projet d’ouverture d’un salon de coiffure;

Yann Dagba, 32 ans, Villiers-sur-Marne, Ile-de-france, salle de sport ambulante;

Zachée Dossou, 29 ans, Lanester, Bretagne, entreprise de vente et d’installation de panneaux solaires et accessoires, dans les communautés rurales du Bénin à l’attention des entreprises et des particuliers;

Sitina Moingarie, 27 ans, Bron, Rhônes-Alpes, café littéraire avec produits bio et recyclage des déchets

La 3ème promotion, 2017-2018

Anissa Ada Avec de la transformation de cacao sur place au Côte d’Ivoire, Anissa entreprend comme projet une entreprise qui permet aux ivoiriens profiter de leurs ressources naturelles.

Elodie Lamoureux Disposant d’un aperçu unique dans la garderie, Elodie veut créer une crèche multiculturelle, surtout pour des mamans jeunes.

Fessoil Abdoulhamidi Acteur associatif et jeune entrepreneur, Fessoil développe un projet de pressing pour baskets, avec un espace café et de coworking. Il a ouvert sa boutique à Paris, Clean Cap N Shoes, en février 2019.

Makan Fofana Blogueur, amoureux de la culture urbaine, écrivain, et technophile, Makan est en train de monter une boite qui aide aux entrepreneurs des banlieues d’améliorer le côté technologique de l’entreprise.

Mamadou Fedior Ouvert en mai 2013, Mamadou a créé son restaurant nommé ‘Pitch Me’ qu’il veut étendre partout à travers du monde.

Mickaël Vandard Étant un explorateur du monde et particulièrement le culinaire, son projet est un Foodtruck, ou il veut servir de la nourriture qui a un vrai sens de goût.

Mohamed El Moussaoui Après être arrivé en France du Maroc à l’âge de 13 ans, Mohamed a pour projet une association qui met en lien des entreprises et associations entre ses deux pays

Nina Thilali Oussadi Nina développe la version digitale d’un service d’aide à l’installation réussie des étrangers en France : professionnelle, culturelle, éducationnelle tout en respectant la dimension culturelle de chaque communauté.

Princesse Baku Detila Née à Kinshasa au Congo, Princesse a comme projet un smoothie bar qui se trouvera dans son pays d’origine.

Samir Akacha Vice président d’une association dans la cohésion sociale (Coexister Europe), son projet est de créer une compagnie de réalisation de vidéos pour les entreprises solidaires qui facilitera des projets extraordinaires.

Stéphanie Maurel Stéphanie a pour but de créer un réseau de femmes chauffeur VTC pour une meilleure liberté et prise de conscience du secteur.

Plus de détails sur la 3ème promotion ici.

La 4ème promotion, 2017-2018

Alice TAPKE, 29 ans, Villeneuve-Saint-Georges, Ile-de-France, création d’un restaurant kebab bio en Côte d’Ivoire avec des produits locaux 

Camille JOSEPH, 32 ans, Brutelles, Somme, Hauts-de-France, création d’entreprise sociale d’insertion dans le domaine de la santé.

Caroline JULIEN, 33 ans, Marseille, PACA, projet d’échange interculturel et l’artisanat entre l’Europe, l’Amérique Latine et l’Asie

Eric LA, 21 ans, Paris, Ile-de-France, projet Meet’Asso pour favoriser la coopération entre les associations

Khawla CHATER KAMMAS, 26 ans, Marseille, PACA, entreprise d’expositions artistiques et engagées

Laura PRUDHOMME, 22 ans, Marseille, PACA, projet de formation digitale autour de la communauté, la sexualité et l’égalité des genres.

Loana RADU, 30 ans, Paris, Ile-de-France, entreprise d’ateliers de photographie et création visuelle pour les mineurs réfugiés

Olympe DUPONT, 20 ans, Noisy-le-Grand, Seine-Saint-Denis, Ile-de-France, entreprise d’événementielle culturelle

Pauline LAZARD, 29 ans, Romainville, Seine-Saint-Denis, Ile-de-France, projet de création de lieu de vie et de rencontre avec un coworking pour romainvillois

Robbynne MUKENA YALA, 21 ans, Bondy, Seine-Saint-Denis, marque en ligne de vêtement prêt à porter, Rojoya

Rosemine ABDALLAH, 27 ans, Marseille, PACA, création d’une université d’été pour jeunes femmes avec moins d’opportunités.

Yassine SAHRAOUI, 25 ans, Moselle, Grand-Est, projet de média alternatif pour mettre en avant des acteurs culturels de la région Grand Est

Plus de détails sur la 4ème promotion ici.

Vous trouverez les biographies en anglais des lauréats de la 5ème promotion ici. En français vous pouvez accéder aux biographies ici.